Réalisé par Ken Scott, Starbuck est l'histoire de David Wosniak, un homme sur le point de devenir père lorsqu'il apprend que son passé de donneur de sperme (sous le pseudonyme Starbuck) l'a rendu géniteur anonyme de 533 enfants. Parmi eux 142 souhaitent en découvrir son identité.
David Wosniak alias El Masturbator
David « El Masturbator » Wosniak tombe des nues lorsqu'il apprend que 142 de ses enfants mettent la pression à la clinique de fertilité pour découvrir son identité.
En parallèle, il est poursuivi par une bande de gangsters à qui il doit 80 000 dollars…
Comme si ça ne suffisait pas, Valérie – la femme de David – attend son premier enfant et pense son mari immature pour s'occuper d'un bébé.
La vie de Starbuck n'est donc pas vraiment une sinécure et les scènes drôles s'enchaînent pour notre plus grand plaisir !
La scène drôle
Quand Antoine Bertrand, l'avocat et ami de David, essaie de convaincre Starbuck de ne pas avoir d'enfant en lui parlant de ses problèmes d'érection et se son incapacité à élever un enfant, le tout pendant que ses propres enfants débarquent un par un pour se coucher dans le sable ou lui donner des claques. Un grand moment !
Note finale : 8/10
Le cinéma Québecois nous offre là une des plus grandes comédies de l'année dont le succès international donnera même lieu à une adaptation dans nos vertes contrées : un Fonzy en demi-teinte avec José Garcia dans le rôle du géniteur anonyme… Pour beaucoup Starbuck est LA comédie de l'année 2012. A la fois touchante et hilarante, une production à voir si vous n'êtes pas réfractaire à l'accent Québécois.
La bande-annonce de Starbuck en vidéo
Rédacteur en chef du Vortex. Amateur de Pop-Corn.
Créateur de singularités.