White House Down

Synopsis du film

A la veille d’un important sommet qui aura des répercussions mondiales, le Président Sawyer revient à Washington. C’est au même moment que John Cale, policier au Capitole, tente d’intégrer les services secrets. Après un échec, pour ne pas décevoir sa fille Emily, il se lance avec elle dans une visite de la Maison Blanche. C’est alors que le bâtiment est pris d’assaut par des hommes lourdement armés.

Principaux acteurs et actrices au casting

• Jason Clarke (Emil Stenz)
• Maggie Gyllenhaal (L’agent spécial Carol Finnerty)
• Channing Tatum (John Cale)
• Jamie Foxx (Le Président James Sawyer)

Ils en parlent : avis et critiques de la presse cinéma

Critikat

Amusant et hautement divertissant, White House Down se pique également de politique. C’est plus étonnant. Le film présent son Obama sous un jour extrêmement favorable, totalement idéalisé. Le président, interprété par un Jamie Foxx super cool, est un dangereux pacifiste, père de famille aimant et bourré de belles valeurs, tandis que les terroristes sont des crapules cyniques va-t-en-guerre racistes et motivées par l’argent. L’heure serait-elle donc à la paix, aux lendemains qui chantent, pour celui qui, dans Independance Day, se situait pourtant bien à droite de l’échiquier politique ? Pas sûr, pour qui tente de lire entre les lignes de White House Down : sous l’égide de ce président rêvé, les États-Unis apparaissent vulnérables, à la merci d’attaques de l’intérieur comme de l’extérieur – comme si, en ces temps de beaux idéaux politiques, l’heure était plus que jamais à la méfiance et à la paranoïa. Vincent Avenel

Première

La testostérone l’emporte sur toute vraisemblance et où le mouvement prime sur la réflexion, les références à la saga Die Hard sont évidentes. La supériorité de White House Down sur son concurrent tient à son ancrage résolument moderne (le président est noir et cool ; l’ennemi vient de l’intérieur, comme dans la série Homeland), à son casting cinq étoiles, à son second degré totalement assumé et à ses moyens décuplés. Christophe Narbonne

Ecran Large

Roland Emmerich n’est plus à son heure de gloire, et pourtant, White House Down prouve que malgré son allure générale quelconque, il reste encore une patte artisanale indestructible et assez irrésistible chez le réalisateur. Geoffrey Crété

A voir à lire

La Maison-Blanche incendiée par Roland Emmerich ? Rien de nouveau sur le sol de Washington. L’Amérique est bien gardée, cette fois-ci par deux larrons aux doux noms de Jamie Foxx et Channing Tatum. Emma Martin