Le Samaritain

Synopsis du film

Sam Cleary (Javon ” Wanna ” Walton), âgé de 13 ans, soupçonne son mystérieux et très solitaire voisin, M. Smith (Sylvester Stallone) d’être en fait Le Samaritain , justicier légendaire déclaré mort il y a 25 ans lors d’un combat contre son terrible frère, Le Némésis. Avec la montée de la criminalité et une ville au bord du chaos, Sam se donne pour mission de faire sortir son voisin de sa cachette afin qu’il empêche la ville de sombrer dans la ruine.

Principaux acteurs et actrices au casting

• Sylvester Stallone (Joe)
• Pilou Asbæk (Cyrus)
• Javon “Wanna” Walton (Sam Cleary)
• Dascha Polanco (Tiffany Cleary)

Ils en parlent : les avis de la presse cinéma

Ecran Large

Le Samaritain suscitera probablement plus d’indifférence que d’engouement ou de réelle déception, et ne devrait pas rester plus de 24 heures en mémoire après visionnage.  Déborah Lechner

Journal du Geek

Moins un film de super-héros qu’une nouvelle manière de prouver l’importance de Sylvester Stallone dans le paysage hollywoodien, Le Samaritain est un long-métrage honnête qui tend à raconter plus qu’à montrer. Un film qui assume sa fragilité et qui tente la différence, qui préfère réparer que détruire. Un film qui ne restera pas dans les mémoires, mais qu’il convient de voir.  Allan Blanvillain

Films Actu

Stallone en super-héros. A 76 ans, la star du cinéma d’action des années 80 et 90 succombe à l’appel des super pouvoirs. Mais on est très loin de Marvel ou DC. Sous ses allures de Direct To Video, le Samaritain a tout d’un film de super-héros des années 90. Si la réalisation de Julius Avery (Overlord) ne manquera pas de charme pour les vieux fans de Sly comme nous, elle n’en reste pas moins une série B fauchée aux effets spéciaux qui piquent parfois les rétines. Reste néanmoins cette aura de vieille bête usée qui mord encore que trimballe Sly. A déguster dans son canap un samedi soir.  Olivier Portnoi

Telerama

Difficile de trouver du charme à cette fable paresseuse sur le bien et le mal, qui recycle sans imagination le cinéma des super-héros, dans un récit sans âme et trop caricatural pour captiver.  Joseph Boinay