Indiana Jones et le Cadran de la Destinée

Synopsis du film

Au moment de prendre sa retraite universitaire pour des raisons politiques, le célèbre professeur Indiana Jones reçoit la visite de sa filleule, Helena Shaw. Elle est à la recherche du fameux cadran d’Archimède que son père a remis à Jones et qu’elle parvient à lui subtiliser avant de s’enfuir. Plus de 25 ans après avoir empêché Jürgen Voller, un nazi, de s’en emparer, Indiana Jones doit se résoudre à se lancer à la poursuite de sa filleule et du cadran pour éviter qu’il ne tombe entre de mauvaises mains. Mais Jürgen Voller ne l’entend pas de la même oreille, lui qui espère remonter le temps afin de changer la destinée du monde.

Principaux acteurs et actrices au casting

• Mads Mikkelsen (Jürgen Voller)
• Antonio Banderas (Renaldo)
• Phoebe Waller-Bridge (Helena Shaw)
• Harrison Ford (Indiana Jones)

Ils en parlent : avis et critiques de la presse cinéma

Les Numériques

S’il est loin des sommets des meilleurs films de la franchise (La Dernière Croisade restant tout en haut), Le Cadran de la destiné saura réconcilier les fans avec Indiana Jones, après la déception du dernier opus. Une aventure généreuse et régressive, certes alourdie par ses ambitions, mais qui offre au personnage et à la saga une conclusion satisfaisante. Thibaud Gomès-Léal

Ecran Large

Un volet (sans doute final) qui fait honneur à ses prédécesseurs, en souffrant de défauts semblables mais en rendant surtout hommage comme il se doit aux meilleurs moments de la saga, et en offrant à son héros la meilleure conclusion possible. Des prises de risque, des maladresses, des clins d’oeil trop appuyés… mais le tout avec une certaine intelligence, et dans l’enthousiasme général qui caractérise les aventures du professeur Jones. Judith Beauvallet

A voir à lire

Le film se veut comme un reflet exaltant et élégiaque d’un héros pulp vieillissant, autant qu’un avertissement inespéré contre le piège de la nostalgie. Néanmoins, le cinéaste-orfèvre James Mangold n’arrive jamais à transcender la saga et l’emmener vers des terrains inexplorés. Il en résulte un volet paradoxal, à la fois le moins cinégénique de l’histoire de la série mais aussi le plus passionnant. Julien Rocher

Ciné Dweller

Cinquième épisode de la franchise, Indiana Jones et le cadran de la destinée est une invitation à revivre la flamboyance des années 80, sans dénaturer l’esprit des films originaux. La présence d’Harrison Ford relève de la magie pure ; Phoebe Waller-Bridge, créatrice de Fleabag, Killing Eve et co-scénariste de Mourir peut attendre, est épique dans tous les sens du terme. Frédéric Mignard