Soul Hackers 2

Ils en parlent : les avis de la presse tech / jeu vidéo

Millenium

Pétri de bonnes intentions, Soul Hackers 2 ne convainc jamais vraiment : son gameplay limité et ses environnements redondants en font une expérience qui montre très rapidement ses limites, il devrait vous falloir à peine une petite paire d’heures avant de déterrer le pot aux roses. Les amoureux du tour par tour à la japonaise peuvent tout de même tenter leur chance pour se boucher une dent creuse, mais il ne propose rien de suffisamment substantiel pour étancher leur soif de MegaTen. Lloyd

JeuxVideo-Live

Soul Hackers 2 n’est pas mauvais, loin de là. C’est un divertissement honnête. Toutefois, il peut diviser, satisfaisant une partie des joueurs, décevant les autres. Un brin répétitif, assez classique sur la forme et assez exigeant dans les combats qu’il propose, il peut néanmoins séduire par son esthétique coloré ainsi que par ses personnages attachants. Algernon

Jeuxvideo.com

Derrière ses néons colorés, Soul Hackers 2 reste un jeu de rôle “à l’ancienne” qui s’éloigne des titres plus récents de sa franchise comme Persona 5 Royal ou Shin Megami Tensei V. Au-delà de son esthétique anime cyberpunk, le jeu d’Atlus se repose sur un système de combat à la SMT toujours efficace et qui a fait ses preuves, mais aussi sur son sympathique casting de personnages qui se démarquent par leurs designs originaux. Malheureusement, l’expérience est desservie par une histoire finalement assez simple, quelques lacunes techniques, mais surtout par ses donjons beaucoup trop basiques et répétitifs qui peinent à stimuler le joueur. Un titre qui a de quoi plaire aux amateurs de jeu de rôle avertis donc. TheXsable

ActuGaming

Scénario insipide, combats mollassons, level design perfectible et localisation en français à revoir, Soul Hackers 2 n’excelle définitivement dans rien de ce qu’il entreprend. De là à le qualifier d’échec pur et dur, il y a un pas que nous ne franchirons pas. Pour la simple et bonne raison que, tout J-RPG prévisible et moyen qu’il est, il offre une aventure agréable, dotée de personnages auxquels on s’attache aisément, malgré une écriture certes mièvre. On est bien loin de la qualité à laquelle nous a habitué Atlus avec Shin Megami Tensei ou Persona, mais on passe un bon moment malgré tout. N’est-ce pas l’essentiel ? Nathan Champion

Gamekult

Laissant penser à une déclinaison radicale et funky d’un mélange pas du tout contre-nature entre Shin Megami Tensei et Persona, Soul Hackers 2 semble sans cesse refuser son statut de JRPG “pour tous” en alignant les mauvais choix de game design. Avec son absence de menu rapide qui oblige à des allers-retours sur une carte aux chargements pénibles, ses donjons aussi passionnants qu’une finale départementale de rami et une certaine paresse dans l’évolution de sa proposition, le jeu d’Atlus avance […]  Killy