Hitman : Agent 47

Hitman : Agent 47 est inspiré de la célèbre série de jeux vidéo Hitman, créée par IO Interactive, le film nous immerge dans l’univers impitoyable des tueurs à gages.

L’histoire suit le personnage de l’Agent 47 (interprété par Rupert Friend), un assassin génétiquement modifié pour être la machine à tuer ultime. Il est doté d’une force, d’une endurance, d’une intelligence et d’une rapidité surhumaines, ce qui fait de lui l’un des meilleurs tueurs à gages au monde. Implacable et méticuleux, l’Agent 47 travaille pour une mystérieuse organisation appelée “l’Agence”.

L’intrigue se déroule autour de la quête de l’Agent 47 pour découvrir la vérité sur ses origines et démanteler le programme qui l’a créé, appelé “Le Projet 46”. Dans sa mission, il croise le chemin de Katia van Dees (incarnée par Hannah Ware), une jeune femme à la recherche de son père disparu. Ensemble, ils vont affronter de puissants ennemis qui convoitent les secrets du Projet 46 et cherchent à créer une armée de tueurs à gages encore plus puissants.

Synopsis

Après avoir créé les Agents, des tueurs invincibles et sans émotions, pour le compte du puissant Syndicat international, le scientifique Peter Litvenko, pris de remords a disparu dans la nature, signant la fin du programme. Alors que des Agents courent toujours les rues, le Syndicat est parvenu à retrouver la fille du scientifique, Katia van Dees, en Allemagne. Ses hommes tentent de la capturer mais l’Agent 47 est également à la recherche de la jeune femme.

Principaux acteurs et actrices au casting

• Ciarán Hinds (Litvenko)
• Zachary Quinto (John Smith)
• Rupert Friend (Agent 47)
• Hannah Ware (Katia van Dees)

Ils en parlent : les avis dans la presse cinéma

Journal du Geek

Que reste-il à Hitman: Agent 47 pour nous divertir ? Des références très appuyées au jeux vidéo — quelques travestissements un peu ridicules, encore le coup du canard et du grille-pain — et une séquence finale mêlant arts martiaux et coups de pistolets à bout portant plutôt rythmée. Le reste n’est qu’une redite de trente ans de cinéma d’espionnage et d’action enrubannée d’un scénario confus et grandiloquent. Vous l’aurez compris, Hitman: Agent 47 passe un peu à côté de son sujet, surtout pour les fans de la franchise vidéoludique. Autant rallumer Blood Money. Gaylord

Ecran Large

Infidèle, bâclée et absurde, cette adaptation est néanmoins suffisamment excessive et incohérente pour faire le bonheur de l’amateur de nanars décomplexés. Simon Riaux

Abus de Ciné

Le problème de ce reboot tient en une phrase simple : c’est tout pareil qu’avant ! Dans le rôle de l’assassin en costume Armani, le british Rupert Friend a beau avoir une gueule plus inquiétante que celle du fadasse Timothy Olyphant, il n’en reste pas moins aussi mince et désincarné, rendant cette icône vidéoludique plus proche d’un costard-cravate cancéreux que d’un tueur silencieux. Guillaume Gas

Eclypsia

Hitman: Agent 47 ne fait qu’attirer l’attention sur le fait que l’univers du jeu Hitman est tout d’abord une toile de fond pour une immersion dans l’action à la troisième personne. La présence d’une organisation diabolique ressemblant à Apple et dont le nom de marque est “Syndicate International” ne fait que rendre le tout encore plus absurde. Il est rare pour un film de tenter à ce point de vouloir rendre spécial un scénario parfaitement commun. En clair, Hitman: Agent 47 est un cafouillage intriguant et un exemple intéressant de la quantité d’obstacles auxquels on peut faire face lorsqu’on veut adapter un jeu vidéo au cinéma. La Rédaction